Cohabitation piétons-cyclistes : étude de cas des rues piétonnes à Montréal
Le portrait de la pratique
Découvrez qui pédale sur nos routes et explorez les diverses pratiques cyclistes aux quatre coins du Québec.
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Le vélo comme activité récréative
Parce qu'il s'adapte à tous les niveaux et à toutes les envies et qu'il permet de se détendre, de faire du sport, de se rapprocher de la nature ou de passer du temps en bonne compagnie, le vélo est une activité récréative particulièrement prisée des Québécois et Québécoises.
© Gabriel Gakwaya
Le vélo, un loisir populaire
Sur route, sur piste cyclable, sur sentier de gravelle ou de vélo de montagne, à des fins de performance, de défi technique ou de promenade, en famille, entre amis ou en club, l'immense diversité de pratiques permet à tous d'y trouver leur compte. Ainsi, c'est près de 1 Québécois·es sur 2 qui fait du vélo à des fins récréatives.
Parmi la population québécoise
49%
des Québécois·es ont fait au moins une fois du vélo à des fins de loisir en 2020
Parmi les cyclistes québécois·es
97%
des cyclistes québécois·es ont fait au moins une fois du vélo à des fins de loisir en 2020
Parmi les enfants (moins de 14 ans)
95%
des enfants québécois de moins de 14 ans ont fait au moins une fois du vélo à des fins de loisir en 2020
Parmi les adolescents (14-17 ans)
90%
des adolescent·es québécois ont fait au moins une fois du vélo à des fins de loisir en 2020
Source des données : Données récoltées pour l'État du vélo 2020 de Vélo Québec, rassemblées dans Poirier, A. et Thiériault, J. (2021). État de la pratique du vélo au Québec en 2020
Vélo de montagne
Des pratiques pour tous les goûts
Discipline la plus répandue, le cross-country consiste à se déplacer dans des sentiers étroits non-revêtus et comportant de multiples courbes et variations de niveau.
Plutôt tournée vitesse et sensation fortes, la descente consiste, elle, à dévaler des pentes parfois fortes sur des sentiers avec des obstacles nécessitant une certaine technique. Les participants enchaînent ainsi les descentes alors que les remontées se font habituellement à l'aide de remontées mécaniques.
À la croisée de ces deux extrêmes, l'hybride enduro ou tout-terrain combine montée et descente sur sentiers dédiés, sans remontée mécanique et permet aux pratiquant·es de relever des défis techniques.
Enfin, d'autres pratiques existent également telles que le dirtjump et le slopestyle (centrés sur les sauts et figures aériennes), le freeride (mettant l'accent sur l'exploration et la créativité dans le choix des lignes de descente), le fatbike (pratiqué sur des surfaces plus instables comme le sable ou la neige) ou le vélo d'aventure (pratique multijours combinant le vélo de montagne et le cyclotourisme).
En 2022,62%des adeptes de vélo de montagne pratiquaient le cross-country.
En 2024, 98 centresau Québec permettaient de pratiquer cette discipline.
En 2022,33%des adeptes de vélo de montagne pratiquaient l'enduro / le tout-terrain.
En 2024, 57 centres au Québec permettaient de pratiquer cette discipline.
En 2022,19%des adeptes de vélo de montagne pratiquaient la descente.
En 2024, 27 centres au Québec permettaient de pratiquer cette discipline.
Source des données : (2022) Vélo Québec (2023). Portrait des adeptes de vélo de montagne 2023 (faits saillants) - (2025) Données internes Vélo Québec
